Les soldats et leurs parents s’écrivaient des lettres et des cartes postales. Quatre milliards de lettres environ furent envoyées. Les cartes postales étaient souvent de propagande et le soldat pouvait y écrire derrière. Toutes les lettres et les cartes postales devaient être lues et approuvées par le bureau de la censure. Aucun renseignement ne pouvait être donné sur le lieux où se trouvaient les troupes. On ne pouvait pas écrire de mauvaises nouvelles sur les conditions de vie des militaires et des civils pour ne pas démoraliser l’esprit combattant.